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10 novembre 2020

Facebook tente une nouvelle fois de lutter contre la fausse information

Facebook tente une nouvelle fois de lutter contre la fausse information

Facebook tente depuis plusieurs mois de lutter activement contre les fakes news. Et c’est bien loin d’être facile. En effet, il faut protéger les internautes, mais trouver des solutions efficaces pour optimiser le contenu. Le réseau social a décidé de placer certains groupes sous surveillance pour endiguer le flot de fausses informations. Digital No Limit vous explique tout sur cette actualité !

Une nouvelle surveillance

Facebook lutte activement contre le fléau de la fake news. Dans le cadre de la période particulièrement compliquée pour les internautes, le réseau social de Mark Zuckerberg lance un nouveau système. L’objectif est notamment d’éviter les commentaires et les abus potentiels, qui pourraient nuire à la qualité du réseau.

Ainsi, les modérateurs et les administrateurs ont du pain sur la planche. En effet, ils ont décidé de lancer une surveillance accrue dans 600 groupes durant les soixante prochains jours. Ces salariés Facebook pourront notamment approuver manuellement les publications qui seraient trop controversées. Une façon optimale de gérer le contenu du réseau social.

Facebook tente une nouvelle fois de lutter contre la fausse information

Canva

De nombreuses initiatives

Facebook souhaite lutter plus efficacement contre la désinformation. La plateforme a d’ores et déjà supprimé de nombreux groupes, notamment ceux qui ont été identifiés comme diffusant de fausses nouvelles. De même, certains hashtags ont été supprimés manuellement, l’objectif étant de vérifier qui dit quoi. Cependant, personne ne sait pour l’instant si le système est réellement efficace.

Ces mesures interviennent juste après les élections américaines qui ont une nouvelle fois été l’objet de polémiques, notamment sur Facebook. Certains estiment toutefois qu’il s’agit d’une censure inadmissible et surtout non justifiée… Au moins, Facebook a le mérite de tenter de faire quelque chose, et cette fois, ce n’est pas un algorithme qui est en charge de la surveillance. Attendons de connaître les résultats de cet essai !

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