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25 juillet 2019

Apple favoriserait ses propres applications sur l’Apple Store…

Apple favoriserait ses propres applications sur l'Apple Store...

Apple subit de lourdes accusations. En effet, le géant américain est suspecté de favoriser ses propres applications sur l’Apple Store. Bien que l’entreprise défende son algorithme et son honnêteté, il semble qu’il y ait bel et bien une faille à ce niveau-là. Retour sur cette information avec Digital No Limit.

De nombreux tests

Ce sont des journalistes du Wall Street Journal qui sont à l’origine de cette enquête. Ces derniers ont démontré qu’Apple favorise ses propres applications. Les accusations sont basées sur des faits réels puisque plus de 600 recherches ont été effectuées avec des mots clés précis. Or, les services d’abonnements d’Apple sont largement mis en avant, contrant ainsi la concurrence.

Il faut savoir que 65 % des applications sont téléchargées après une recherche effectuée sur Apple Store. Donc, les éditeurs sont très mécontents de cette découverte. Car ils ont la sensation de se faire avoir par la société à la pomme qui ne joue pas la carte de la bienveillance !

Apple favoriserait ses propres applications sur l'Apple Store...

Pixabay

Une fausse affirmation

Le porte-parole d’Apple est rapidement sorti du silence pour démentir ces informations. Il affirme que la formule de son algorithme est parfaitement maîtrisée. Pour autant, le géant américain a refusé de dévoiler sa formule. Cependant, la firme utiliserait 42 critères pour établir un classement. On parle notamment du comportement de l’utilisateur ou encore du nombre de téléchargements.

Ainsi, c’est seulement la popularité des applications Apple qui leur permettrait d’arriver dans les premières positions. Le constructeur ne donne pas davantage d’explication. Et ne donne pas non plus d’informations complémentaires sur les logiciels préinstallés sur les appareils mobiles.

Ces accusations sont graves mais Apple s’en sort, comme souvent, avec des explications légères. De quoi mettre en colère les éditeurs et les utilisateurs… Mais rien n’est prouvé, alors… la prudence est de mise !

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